Mercredi 10 Avril 1991 - Suite – Avant La Nuit Chez Monique

Au boulot dès 8,00 heures, en même temps, je tournais en rond pour imaginer la prochaine rencontre avec Monique. A la pose de 10 heures je l’appelai au bureau, ne sachant, toujours pas comment me sortir de cette histoire.
Moi : « Bonjour, … je peux parler, … »
Monique : « Oui, … je suis seule, … T’es parti de bonne heure, … »
Moi : « Vous dormiez, … et j’ai quand même des choses à vérifier avant le début de la séance, … quand se voit-on, … »
Monique : « Es-tu disponible ce soir, je t’invite à la maison, … »
Moi : « OK, … j’apporte le diner, … »
Monique : « Non, je m’en occupe, … disons 20 heures, … j’ai ma fille, ainsi elle sera couchée et devra dormir, … »
Moi : Pas de problème, … à ce soir, … tu es toujours seule, …»
Monique : « Oui, … qu’est-ce que tu as en tête, … »
Moi : « Devines, … comment es-tu habillée, … »
Monique : « Ma robe à gros bouton que tu connais, … mais ne me dis pas que, … »
Moi : « Et en dessous, … rien, … »
Monique : « Arrêtes, … petite culotte, … »
Moi : « Tu devrais l’enlever, … tu es mieux sans, … »
Monique : « Ça t’excite que je l’enlève, … dis moi, … tu deviens dur, … »
Moi : « Oui, … je t’imagines en train de l’enlever, … »
Monique : « Attends, … non je ne peux pas, … il y a tout le temps quelqu’un qui passe, …»
Moi : « Oui, … c’est peut-être mieux, …quand tu viendras à la débauche, … tu l’enlèveras, … et elle aura ton odeur, … l’odeur que j’aime, … l’odeur de ton minou, … »
Monique : « Arrêtes, … tu me fais tourner la tête, … »
Moi : « Défais le deuxième bouton en dessous de la ceinture, … »
Monique : » Quoi, … tu es fou, … »
Moi : « Tu glisses la main à l’intérieur de ta jupe, … tu écartes les cuisses, … tu vas arriver à ton minou, … et tu vas le caresser, à travers ta petite culotte, … tu seras toute chaude, … et tu seras mouillée, …elle aura ton odeur, …»
Monique : « Tu es fou, … je ne peux pas, … » Un long silence, …
Moi : « Ta main caresse ta chatte, … tu aimes, … »
Monique : « Oui, … je suis folle, … j’aime t’obéir, … t’es content de toi, … je suis toute excitée, … »
Moi : « Je t’attends vers midi, … gares toi à coté de ma voiture, … je ne serais pas loin, … je m’occuperais de ton minou, … »
Monique : « Tu es un monstre, … et moi, j’obéis, … tu me caresseras, … j’aime que tu me dises ce que tu veux me faire, … oh,… OH, … OH, … voilà un conducteur, … »
Moi : « Suces bien tes doigts, … sinon le courrier aura l’odeur de ta chatte, … »
Monique : « Goujat, … » et elle raccrocha
A midi, de ma voiture, je la guettais.

A peine arrivée, en descendant de sa voiture, j’étais à ses cotés et l’attirais derrière les voitures, à l’abri des regards, puis l’attirais contre moi et prenais ses lèvres, alors qu’elle se collait contre moi. Le premier baiser fait : elle me dit : « Tu es vraiment un monstre, … et moi je suis folle, … folle de t’écouter, … de faire ce que tu veux, … de t’attendre, …»
Moi : « Tu regrettes, … »
Monique : « Non, … t’es content, … »
Avant d’aller plus avant je lui disais « il y a une question que je voulais te poser, … »
Monique : « Oui, … laquelle, … dépêches toi, … on a autre chose à faire, … »
Moi : « Tu prends la pilule, … »
Monique : « Houlala, … houlala, … mauvaise question … très mauvaise question, …»
Moi : « Pourquoi, … »
Monique : « Pourquoi, … je sens que je vais être grossière, … Tu vois, on s’entend bien au lit, … on aime baiser tous les deux, … j’aime que tu me prennes partout, … tu n’as pas remarquer que je t’ai jamais demandé si tu étais marié, veuf, divorcé, … c’est ta vie privée, … la pilule c’est ma vie privée, … ça ne regardes que moi, … »
Moi : « Je pensais, … »
Monique : « Ne penses pas, … pour te punir et me faire plaisir, … tu vas, … comme tu dis : me bouffer la chatte, … et me donner du plaisir beaucoup de plaisir, … »
Je n’avais lus qu’à m’exécuter et glissant ma main entre nous, je m’aperçus que les boutons de sa robe, au niveau adéquat, n’étaient pas boutonnés, ce qui me donnait un accès aisé à sa grotte d‘amour et surprise, je rencontrais une petite culotte, « de protection », mais légèrement humide.
Moi : « Je te préfère sans cet accessoire, … »
Monique : « Tu m’as dit de la garder, … mais tu en as déjà une, … »
Moi : « Enlèves la, … je veux caresser ton minou, … le sentir dans le creux de ma main, … »
Monique : « Non, … tu l’enlèves toi, … »
Moi : « OK, … » La poussant sur le capot de ma voiture, je soulevais la jupe, quand elle m’arrêta pour la déboutonner, disant c’est quand même plus pratique et j’entrepris avec son aide d’enlever sa petite culotte.
M’étant, ainsi accroupi, j’étais à la hauteur de sa chatte, elle mit la main sur ma tête en disant : « Tu es à hauteur, … occupes toi de mon minou, … tu m’as excitée, … calmes me moi, … » et elle avait largement écartées les cuisses, il ne me restait plus qu’à m’exécuter d’autant plus facilement que son odeur, l’odeur de sa chatte chaude m’enivrait. Et les cuisses bien écartées, je ne pouvais que me diriger vers cette jolie chatte offerte. Sans hésiter, je humais l’odeur de son excitation. Parcourant, avec le bout de ma langue, la raie humidifiée, de ses grosses lèvres. Appuyant de nouveau sur ma tête : « Arrêtes ce jeu, … rentres, … je te veux, … prends moi avec ta langue, … tes doigts, … » Vue ces bonnes dispositions que je m’efforçais de prendre en compte, ma langue s’activait dans sa grotte d’amour alors que mes doigts avaient pénétré son fourreau chaud et accueillant, en même temps, mon pouce avait tâté la souplesse de sa rosette qui gentiment s’était laissé pénétré, ce qui s’était suivi par : « OH, …oui, … tu l’auras ce soir, … mais donnes moi du plaisir maintenant,… et t’auras tout, … comme tu voudras, …» La pression chez ma partenaire montait et cela s’entendait : « Oui, … continues, … j’aime te sentir, … c’est bon, … ne t’arrêtes pas, … ça vient, … continues, … plus vite, … OUIIIIIIII, …. OUIIIIIIII, … » Un brutal spasme lui fit serrer les cuisses en même temps qu’un cri rauque de gorge se faisait entendre. Puis me libérant elle se laissa glisser du capot, aplatit sa jupe et prenant ma main et me regardant droit dans les yeux, avec un air de défi, se mit à lécher les doigts qui l’avaient pénétrée. Enfin, se collant à moi, « Embrasses moi, … » Elle passa sa langue sur mes lèvres puis vint m’embrasser, sa langue cherchant la mienne. Pendant cet exercice, je glissais une cuisse entre les siennes et ce qui devait arriver, arriva, elle vint frotter sa chatte sur ma cuisse avec : « Arrêtes, … non, … ne fais pas ça, … ça m’excite, … si tu continues, … » Mais elle continua jusqu’au moment où serrant les cuisses, elle se mit à jouir avec des : « OH, … oui, … OUIIIIIII, … » C’était la deuxième fois qu’elle prenait du plaisir.
Enfin se calmant et se reculant : « Tu es vraiment, … »
Moi : « Vraiment quoi, … tu n’as pas aimé, … tu m’as mis dans un état, … »
Monique : « T’as envie de moi, … dis moi que t’es bien dure, … que tu bandes, … (alors qu’elle avait mis la main sur ma braguette, très déformée) laisses moi voir, … OH, … oui, … tu veux que je m’en occupes, …»
Moi : « Tournes toi, … je vais te prendre, … »
Monique : « Non, … laisses moi faire, … j’ai aimé que tu me lèches, … je vais te sucer, … je veux te gouter, … je sais que tu aimes, … » Je ne pouvais refuser une telle proposition connaissant la façon dont elle savait se servir de ses lèvres et de sa langue quand elle décidait de s’occuper de mon sexe et sans hésiter, pendant que je défaisais ceinture et braguette, elle s’accroupit et sortant mon engin qui me faisait honneur, elle dit : « J’aime te voir comme ça, … je sais quand tu es comme ça que tu vas me donner du plaisir, … et moi, je vais en prendre en t’en donnant, …je vais te sentir vibrer, … » et ayant bien pris ma bite en main, du bout de sa langue elle commença à titiller mon gland, doucement puis un peu plus vitre, ce qui m’envoyait des vibrations dans la queue, enfin ses lèvres, en douceur, se posèrent et sucèrent mon gland comme l’on suce une glace, pour enfin prendre en bouche l’ensemble de ma bite et là elle entreprit de me pomper avec une énergique douceur et levant les yeux elle me regardait apprécier sa prestation et alors que je sentais que j’allais jouir, je lui dis : « Attention, … » sans hésiter, tout en continuant à me branler, elle resserra les lèvres et continua à pomper et je jouis dans sa bouche. Se relevant elle dit : « J’ai aimé que tu jouisses dans ma bouche, … dis moi que tu as aimé, … j’espère que tu as de la réserve pour ce soir, … » et se collant contre moi : « Il faut que je m’en aille, … mais j’ai envie de toi, … penses à ce soir, … je serais à toi, … une petite caresse et je pars, …» Sachant ce qu’elle voulait, je glissais une main entre nous et ayant entrouvert sa robe, j’atteignais sans difficultés sa chatte que je pénétrais directement : « OH, … OUIi, … » et elle était dans sa voiture.


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